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Exemple :
La moyenne des espérances de gain figurant dans la troisième colonne du tableau ci-dessus est de
60,5 % (ou 0,605). C’est le gain théorique gth de J contre l’ensemble de ses adversaires, qu’on peut
fondre en un adversaire fictif unique : l’adversaire global.
Le gain théorique gth = 0,605 correspond à une différence de niveau théorique calculable par :
La moyenne générale de l’adversaire global de J est donc de 0,723.
Annexe 2.04 - Gain réel
Pour chaque match de la période de référence, il est attribué deux points par victoire (y compris en cas
de prolongation) et un point par match nul. Le gain réel pour n matchs est la moitié de la moyenne des
points obtenus :
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Exemple :
Les points de matchs (dernière colonne du premier tableau) donnent les gains réellement obtenus
par J. Sur 20 points de matchs possibles, il en a marqué 11, ce qui correspond à un taux de
victoires de 11/20, soit un gain réel gr = 55 %.
Le gain réel de J étant inférieur au gain théorique, son niveau réel est donc inférieur à celui indiqué
par sa moyenne générale (0,774).
Ce gain réel dépassant cependant 50 %, le niveau de J est donc supérieur à celui qu’indique la
moyenne générale de son adversaire global (0,723).
Annexe 2.05 - Ranking
La moyenne générale du joueur est ajustée en fonction du gain réel et de la différence réelle de niveau
avec la moyenne de l’adversaire global.
Soit dr la différence de niveau réelle entre le joueur et son adversaire global, calculée par :
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